Category Archives: C’est écrit

L’ortie et comment

L’ortie et comment

Elle n’existe plus elle était au bord du lu lac plat la glace a tout rangé pour la saison sous sa verrière.

Séchée en état critique brunie foulée si peu reconnaissable dans son retrait l’ortie diffère ses vies.

De lenteur noire au soir frangé la glace ne réfracte rien, sans charme elle épouse les rocs.

Rien de cette simplicité ne peut se diviser il n’est que le souffle obscurci sous la glace qui ne cherche la pleine lumière au soir mais cherche encore tardivement dans l’apparence comble.

Ortie opuscule rangée pliée d’un en trois pour une meurtrissure redite.

Cette pliure prend la parole pourtant dans une instance de nette confusion sous la gangue immobile et glacée le lac ondule et arrache ce qui a continué et qui par bref instant se donne à voir depuis l’entrouvert.

Cette levée annonce les sonnailles le poudroiement des cristaux mobiles qui ne sont que le droit fil des choses.

Sans quoi l’ortie et comment ?

 

 

Qu’est ce ?

Qu’est ce ?

Qu’est ce qui étrécit l’être, quel chant sourd du puits profond à l’heure striée et rase hivernale ? Qu’est ce qu’ennui et vapeurs dégluties, les mains aux fronces des troncs et les lèvres de fête effacée ? Qu’est ce qui digresse à lents pas à la marcescence des feuilles grêlées au moût des syllabes salivées… Continue Reading

Série avec les pieds, chaussons et petit miroir

Série avec les pieds, chaussons et petit miroir

Un jour au format carré 6×6 avec le YashiCaMat124. La photo est depuis la magie dans ce qu’elle est circulaire pour ce qu’elle déroule de quantique (cantique des). Elle en est là, la photo. Tenue pour tenue de son haut et bas dans le chiffrement de redondance de son poiein (en chef – lui!).   Continue Reading

Retour à l’Adieu (en état d’élaboration)

Retour à l’Adieu (en état d’élaboration)

C’est l’état actuel, mais cela évolue jour à jour dans les meilleurs cas. >** Adret plissé** La terre noire respire de plusieurs flambées de buissons de genêts, cela persévère allant de soi plusieurs heures de la journée. Votre visage luit sous le soleil chef régulier. Les encorbellements de masses pierreuses en aplomb bordent un monde… Continue Reading

Ecmnésiques (l’image-empreinte-relique)

Ecmnésiques (l’image-empreinte-relique)

Ces clichés Ecmnésiques (je vais argumenter plus tard sur ce même article) sont développés par moi il y a plus de 30 ans pour la plus ancienne (le cèdre). Je viens juste de les retrouver. Les photos, les images nous approchent comme entités indépendantes porteuses de leurs histoires. Cette rencontre est bien ‘transversale’. Je ne… Continue Reading

Les mots voient

Les mots voient

Il se trouve que l’on trace le visible d’un extérieur, l’invisible d’un intérieur et l’on reste souvent dans l’entre deux qui est une porte. La porte. Trouvons-nous face à cette porte pour la desserrer. Survient certain, le surgissement de la riole, les traces de lumière que sont les fonctions mythologiques de soi-même. Continue Reading

Le moment les mots manquent

Le moment les mots manquent

Sous leur surface élastique, celle des dires et dires de l’aimer, dans le « fumetto » aplati des tarses disantes et racontantes, on peut voir transparaître l’unique. Les lettres se retrouvent ainsi dans leur enveloppe pour une trajectoire mentale « maître d’école » faite du précis de l’ouvrage bien taillé. Le lamparo flotte dans le lointain et le balancement… Continue Reading

Tolosa 31 décembre

Tolosa 31 décembre

Dans la ville, toujours les mêmes axes en parcours. Dans le circuit posément déstinal : les quais l’église de la Daurade le marché des Carmes. Ce dessin, ce parcours nous conduit, nous fait une petite, minuscule légende tranquille. Nous aimons cela. Pourtant dans l’habitude et la reconnaissance des lieux nous parvenons à passer sur cette… Continue Reading