Qu’est ce qui étrécit l’être, quel chant sourd du puits profond à l’heure striée et rase hivernale ?
Qu’est ce qu’ennui et vapeurs dégluties, les mains aux fronces des troncs et les lèvres de fête effacée ?
Qu’est ce qui digresse à lents pas à la marcescence des feuilles grêlées au moût des syllabes salivées faisant que nous sommes de côtes et d’assemblages ouatant à nappe sur gage ?