C’est le travail de développer, d’augmenter et de révéler. Demain je mets en couleurs ce que j’ai dessiné ce samedi. Imprécations contre le vernis craquelé, fendu, écaillé, sub-dénaturé, usé, usagé, quasi effacé dans le fin interstice du lisible. Le codique des couleurs qui donnent l’inventaire des possibles, plus exactement l’actualisation du réel et de ses possibles, une impression de déjà vu qui revient depuis la frange du présent. C’est donc un lieu de nulle-part mais qui existe bien. Une correction des éclaircissements.