Dans la plaine détrempée après plusieurs jours de pluies intenses ici, sur les coteaux très ventés ; mais dans ces lieux solitaires. Seuls donc durant les deux heures trente de notre marche. Des sentes, quelques layons vers la fin. Les belles couleurs et déjà des genêts en fleurs. Cela monte et descend et sur les plateaux nous ressentons les intensifs particuliers des lieux. Une restitution qui nous donne à collecter la tempérance des glaises, des guets aux courants. Les feuilles au sol et leurs protocoles de couleurs recommencées et délavées par les pluies. Les branches nous aident à remonter du ru, leur référentialité est re-connue, balisée dans nos esprits. Nous en sommes là. Les rameaux désœuvrés aux vents de biais nous font question.