J’avais écrit un petit texte pour accompagner une photo de Françoise, puis j’ai trouvé une photo d’une fille qui ressemblait beaucoup à Françoise, très troublant au demeurant (il faudra que je la lui montre pour qu’elle me dise si elle trouve la ressemblance efficiente.
« Dans ce temps écarté, plus aucune langue n’est parlée. Notre dialecte privé se trouve dans l’interjection vide, blanche. C’est l’heure du froncement de la musique seule, comme une maternelle mêlée de ses points simples. Une neuve étoffe d’idiome, un chat rôdant en rond, sujet de l’heure légale de rentrée. Je parle donc la langue du malaise, ce complément verbal de l’indéfini, de ton manque nord-sud. Pour l’heure, j’habite cette absence, ce corps à corps vidé, comme la rue voisine jamais parcourue, à chasse-pas, où poussent les idées semblables, reconnaissables mais à jamais vraiment idéales dans leur suffisant plus-tard.
13/08/2013 »