Le cordon de la date précise (promenade par la suite)

Le cordon de la date précise (promenade par la suite)

Je sais maintenant que pour éclairer toute la surface je dois dans le mode opératoire, dans l’attente de la résolution propre à cet instant machinal, réciter la chair radieuse et sa langue pendante, permanence de sa danse pour le plaisir de la bâtisse dans l’indolence dans la pièce inutile qu’est la chambre justement. J’en suis là l’interrogation à formuler celle recherchée par les amis (se disent-ils) comme prouesse des après midis tout en longueur de rien sans réserve. Le roc, la terre ferme le sachant du chemin petit voyage depuis quand. Je ne dis rien aux amis depuis des lustres depuis que je ne peine plus à formuler depuis ces musiques à ingérer pour être dans l’entre-soi. Avant tout tarissement et sa bonne heure avant le ressac déglutis avalé de l’acceptation le contraire de la présence permanente son nul avec son talent sincère, il me faut te dire trouver le chemin pour te faire savoir toutes réserves insoupçonnées mais l’entendras-tu ainsi sauras-tu dans ce pari de foi m’habiller déplier le costume de l’effigie en parfaite connaissance ?

Plaisir de la promenade du pinceau fin délimitant d’un arc sûr le lointain la douleur d’imaginer mais quoi ? Mais quoi ? Quelle cloche tinte ? Quel son diffus mordillant le froid sans repères pour nous en promenade et savoir se lamenter pour percer de nos pas deux ou trois feuilles au sol dans leur retraite de couleur le plus souvent le blanc du ciel esprit limpide frappe sans détails on n’en voit pas le plus souvent la conséquence ni aucune sorte de confession particulière, cette connaissance sans fruit qui pèse sur chacun comme un pari.

 

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